L’amour, en théorie est un troisième roman que j’ai pu découvrir de l’excellente auteure qu’est Ali Hazelwood. Je ne peux que remercier La Boîte de Diffusion qui m’a permis de la découvrir et de vous livrer ainsi cet avis concernant cette comédie romantique. Bref, voici ce que j’en ai pensé !
- Titre original : L’amour, en théorie
- Scénario : Ali Hazelwood
- Éditeur VF : La Martinière
- Année : 2024
- Genre : Romance, Comédie
- Nombre de tomes : 1
Synopsis
Je te hais depuis le jour où j’ai entendu ton nom pour la première fois. Je te hais depuis que j’ai lu dans le Scientific American ce que tu avais fait. Je te hais depuis l’âge de douze ans. Je te hais plus que tu ne me hais, depuis plus longtemps et pour de meilleures raisons. Jack n’a plus du tout l’air amusé. Et pour moi, c’est une première. La première fois que je suis vraiment moi-même. J’en éprouve un sentiment nouveau, inconnu, bizarre – que j’adore.
En pratique, Elsie sort avec Greg. Enfin, c’est ce qu’ils font croire. Le soir, pour arrondir ses fins de mois, Elsie loue ses services de fausse petite amie idéale. Et le jour, elle trime dans les amphis et croule sous les copies d’étudiants dont la grand-mère vient encore de mourir. Son rêve de toujours ? Être chercheuse titulaire ! Alors quand le département de physique du MIT ouvre un poste, Elsie ne perd pas une seconde. Seul accroc : Jack Smith, l’un des recruteurs (et, accessoirement, un brillant scientifique aussi arrogant que sexy), est prêt à tout pour placer son propre poulain… Mais rien ne se mettra entre elle et ce poste, même pas ses biceps à défier les lois de la gravité. En théorie, tout devrait bien se passer, non ?
Mon avis
Elsie et Jack
Je pense qu’on peut facilement se retrouver facilement en Elsie, notre protagoniste. Elle a tellement peur de ne pas plaire pour ce qu’elle est et ce, depuis l’enfance, qu’elle s’est mise à s’adapter comme un caméléon à chaque situation et à chaque personne. Elle s’adapte donc ainsi aux exigences de chaque personne de son entourage ou de son milieu de travail afin de devenir la parfaite Elsie et ce, dans chaque circonstance. Jack est la première personne qu’elle rencontre qui comprendra son petit manège et qui tentera de découvrir qui est la véritable Elsie.
Comme dans une comédie romantique clichée, notre héroïne va s’enfoncer dans plusieurs mensonges et tenter de jongler avec ceux-ci jusqu’à ce que tout lui explose au visage. Entre temps, elle tombe amoureuse d’un homme qu’elle déteste. Ils sont également rivaux dans la sphère du travail. La suite n’est pas difficile à imaginer.
« J’ai cessé d’essayer de me glisser dans la peau d’une autre. Je commence enfin à vivre ma vie. »
En conclusion
Il s’agit du troisième roman d’Ali Hazelwood que je lis. Et j’avoue que sa plume me plaît de plus en plus. Même si aucune des deux lectures qui ont suivi Bride ne sont parvenue à le surpasser, je ne me lasse pas de l’humour de l’auteur et de ses personnages pétillants. Peut-être est-ce simplement le domaine universitaire qui me plaît moins que l’univers fantastique qu’elle a bâti avec son autre roman. Malgré tout, j’ai passé un agréable moment de lecture avec L’amour, en théorie. Bien que l’héroïne m’ait semblé un peu idiote, par moment, je n’ai pas pu m’empêcher de m’attacher à elle et d’être intriguée concernant son évolution et ses mensonges. La romance était belle, bien qu’un peu prévisible. Bref, je ne peux que recommander ce titre.
J’aime
- L’humour
- La romance
- La thématique de la science
J’aime moins
- Le fait que la romance soit lente à débuter
La copie du roman L’amour, en théorie a été offerte par La Boîte de Diffusion.
L'amour, en théorie
Texte, narration et scénario
Impression générale
Super !
Une très bonne lecture ! Les amateurs du trope ''enemies to lovers'' seront ravis !